La secrétaire et son patron
– « Nous essaierons de répondre à tous vos besoins, M. Chenin » répondait-il au téléphone à un de nos plus gros clients.
Je me tenais devant son bureau et le regardait avec luxure. Je me penchais pour prendre un papier dans sa pile de dossiers, lui donnant une vue dégagée sur mon chemisier qui était légèrement plus ouvert que nécessaire. Ses yeux se sont concentrés sur la chair délicatement incurvée qu’il pouvait voir au-dessus du haut de mon soutien-gorge… Son souffle se coupa, comme s’il voulait dire quelque chose, mais décida de ne pas le faire. Je sentais légèrement son eau de Cologne qui s’était estompée depuis qu’il l’avait mis ce matin, mélangée avec sa propre odeur unique…C’était enivrant…
Avec la grosse affaire à venir, peut-être était-ce le bon moment de choisir le plaisir. Il semblait que le patron avait un besoin urgent de relaxation. Je l’avais compris. d’un naturel sans faille et instinctif, je m’étais dirigée de l’autre côté de son bureau alors qu’il se levait et dénouait sa ceinture. Je l’ai aidé avec empressement. Je voulais le voir, le sentir et le goûter… Son pantalon et son caleçon ont touché le sol. Il était grand, dur et se tenait fièrement droit. Il se rasseyait sur sa chaise de bureau, roulait pour me faire face et écartait les jambes. Sans prononcer un mot, comme un accord, le message était clair.
J’ai effrontément tiré la langue. Pendant qu’il haussa un sourcils, je léchais le bas de son érection. Son parfum viril et son goût remplissaient mes sens. Lentement mais sûrement, le rythme s’accélérait. Il bougeait ses hanches pour me faire signe d’aller plus vite. Je commençais ma tâche avec abandon et le suçais fort entre mes lèvres. J’ai continué à lui masser les couilles en le prenant dans ma bouche aussi loin que je le pouvais. D’une main sur ma tête, il guidait mes mouvements. J’adorais lui faire plaisir avec ma bouche pendant qu’il parlait au téléphone. J’ai progressivement léché toute sa longueur de la pointe à ses couilles et au dos. Au bout de son érection, un filet de liquide pré-éjaculatoire sortait déjà en raison de ma manière experte. Je laisse courir ma langue lentement autour de son gland.
J’étais heureuse de constater que l’appel ne s’était pas éternisé. Il raccrochait. Il m’avait doucement poussé sur son bureau et a remonté ma jupe pour qu’elle soit autour de ma taille. Ses yeux parcourraient avec appréciation, il gémissait doucement quand il voyait que seul un minuscule morceau de tissu rose couvrait ma chatte. Il masquait rapidement le son avec une toux. Il passait son pouce sur le tissu qui s’était assombri à cause de mon humidité. Atrocement lentement, il m’avait taquiné avec des mouvements circulaires sur le tissu humide. Ça faisait du bien, mais ça ne me suffisait plus. Je le voulais complètement. Impatiente, j’ai baissé ma culotte et ouvert les cuisses sur son bureau pour lui offrir la vulve de ma chatte écartée.
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